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On touche à la fin et le feu reprend un peu logiquement tandis que Perry se rapproche du pot aux roses. Mais ça n'empêche que même avec une saison courte de 8 épisodes, HBO a encore vu trop grand de deux épisodes facilement. Mais c'est un peu logique, même avec l'émergence du personnage de Mason, on a de quoi faire un long métrage avec le matériel. Tenir quasi 8 heures, c'est forcément abusé.
Plus que l'affaire Dodson, ce qui est passionnant, c'est de voir une équipe de justicier se révéler, chacun abattant plutôt du bon boulot avec quelques satisfactions, comme de voir Barnes se faire enfin river son clou à la barre. Drake en a fini avec la victimisation BLM et songe enfin à devenir un vrai flic qui assure dans l'investigation. Le personnage m'inspire tout de suite plus et ça pourrait valoir le déplacement de le voir bosser de concert avec Mason, Street et Strickland sur une saison entière et au sein d'un cabinet pleinement installé. A condition que Strickland renonce à sa retraite anticipée bien évidemment, il reste le maître de la filature même s'il a tendance à se faire griller souvent dernièrement.
Le cas Dodson me laisse toujours assez froid, Emily ne force pas la sympathie et le bordel final de l'Eglise iconoclaste m'a consterné plus qu'autre chose. Le flashback sur Sister Alice arrivait un peu tard et n'apporte pas grand chose.
Il ne reste plus qu'à mettre Ennis hors d'état de nuire pour le bouquet final. Le detective ripoux n'aura pas démérité pour charger son cas, on a vraiment envie qu'il y passe le salopard.
Plus que l'affaire Dodson, ce qui est passionnant, c'est de voir une équipe de justicier se révéler, chacun abattant plutôt du bon boulot avec quelques satisfactions, comme de voir Barnes se faire enfin river son clou à la barre. Drake en a fini avec la victimisation BLM et songe enfin à devenir un vrai flic qui assure dans l'investigation. Le personnage m'inspire tout de suite plus et ça pourrait valoir le déplacement de le voir bosser de concert avec Mason, Street et Strickland sur une saison entière et au sein d'un cabinet pleinement installé. A condition que Strickland renonce à sa retraite anticipée bien évidemment, il reste le maître de la filature même s'il a tendance à se faire griller souvent dernièrement.
Le cas Dodson me laisse toujours assez froid, Emily ne force pas la sympathie et le bordel final de l'Eglise iconoclaste m'a consterné plus qu'autre chose. Le flashback sur Sister Alice arrivait un peu tard et n'apporte pas grand chose.
Il ne reste plus qu'à mettre Ennis hors d'état de nuire pour le bouquet final. Le detective ripoux n'aura pas démérité pour charger son cas, on a vraiment envie qu'il y passe le salopard.